entre argentique et numérique, la mémoire d'un instant ®
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La photographie est un court métrage qui dure le temps que veut bien lui accorder le visiteur. Si le regard y est retenu, alors chacun y découvre ses propres sensations indépendamment de l’auteur et parfois un brin d’histoire selon son imaginaire ou ses propres souvenirs. Une photographie n'est pas la réalité que le spectateur veut parfois lui prêter. Sans odeur ni son, isolée du véritable contexte de la scène du monde elle est comme une petite phrase sortie d’un roman. Elle est l'idée subjective qui trotte dans la tête du voleur d’images. Daniel Blaise
Je sors peu, mais j'ai eu l'occasion, en 97, pour les 50 ans de la sécu, d'assister à la fête au stade Charlety : l'école de samba de Marseille traversant les couloirs du stade, le béton des tribunes vibrant des tambours ! Les jeunes femmes superbes, les rythmes des danseurs ! Impressionnant ! J'en avais la chair de poule !
Je connais bien Charléty mais c'était pour de l'athlétisme en... 1966 (pour les anciens c'était Michel Jazy sur un 10.000 mètres).
La danse c'est toujours fascinant. Que l'on pratique ou pas elle est innée, on l'a dans la peau. Ici c'était en dehors de l'organisation, donc "sauvage". et ce n'en était que plus intéressant (Place de la Bastille en attendant le cortège).
Je sors peu, mais j'ai eu l'occasion, en 97, pour les 50 ans de la sécu, d'assister à la fête au stade Charlety : l'école de samba de Marseille traversant les couloirs du stade, le béton des tribunes vibrant des tambours ! Les jeunes femmes superbes, les rythmes des danseurs ! Impressionnant ! J'en avais la chair de poule !
Je connais bien Charléty mais c'était pour de l'athlétisme en... 1966 (pour les anciens c'était Michel Jazy sur un 10.000 mètres).
La danse c'est toujours fascinant. Que l'on pratique ou pas elle est innée, on l'a dans la peau. Ici c'était en dehors de l'organisation, donc "sauvage". et ce n'en était que plus intéressant (Place de la Bastille en attendant le cortège).